Grégoire Boeuf et les Larmes du Levant : une passion

Grande originalité pour cette boisson japonaise, ce saké a été brassé en Auvergne, à Pélussin, dans la cave "Les Larmes du Levant".
Cette "sakagura" (brasserie de saké) a été fondée en 2016 par un passionné du nihonshu, Grégoire Boeuf qui s'est installé là après avoir étudié l'art du brassage au Japon.

Fidèle aux principes fondateurs des bons sakés japonais, Grégoire veille à suivre les règles ancestrales de brassage du saké et en particulier à utiliser des riz japonais pour en retrouver les même saveurs.
 

Inari, un saké aromatique aux notes fruitées

Typique des sakés dits "élégants", ce beau junmai ginjo est très aromatique, avec une texture légèrement crémeuse.
Possédant une belle présence en bouche, il permettra d'accompagner un repas sans rougir.
Nous recommandons de déguster ce saké à une température fraîche d'environ 15°C. Il s'harmonise parfaitement avec des fruits de mer, poulpe ou encore un poisson à chair blanche.
 

Hannya, un saké profond pour des plats robustes

Avec ce saké, c'est tout l'univers des sous-bois qui se révèle : un nez riche en arômes de champignons donnant accès à une structure qui s'affirmera en bouche, avec des saveurs de fruits à coque rehaussées de notes épicées tout en subtilité.
Comme pour la majorité des saké "Kimoto", nous suggérons de déguster ce saké idéalement à une température d'environ 37°C (réchauffage au bain marie), ou à défaut chambré. Ce saké s'accordera parfaitement avec des plats du terroir, tels qu'une fondue au fromage ou une choucroute. Il conviendra également très bien à l'accompagnement de grillades.